La question de la qualité des services publics illustre bien la difficulté de l'exercice, car nous ne pouvons peut-être pas l'évaluer autrement que par les dépenses correspondantes, à moins de nous entendre sur une mesure de l'efficacité de ces dépenses – c'est-à-dire sur des critères de réussite dont les débats liés au classement PISA, en matière d'éducation, montrent combien il est difficile d'en donner une définition. Je confirme donc que notre groupe est hésitant face à ce texte, y compris dans la nouvelle formulation proposée par l'amendement qui nous est proposé.