Le rapporteur, la ministre et M. Sebaoun ont posé les vraies questions. S'ils souhaitent le retrait de cet amendement, c'est que ce n'est ni par l'obligation ni par la coercition que l'on réglera le problème, mais en discutant, notamment avec les jeunes médecins que l'on ne peut pas obliger à s'installer quelque part après de si longues études sans risquer la révolution. On a longuement insisté sur le fait que l'état d'esprit de ces jeunes médecins avait changé, et c'est avec eux qu'il appartient de discuter de la médecine de demain.