Je veux souligner une difficulté à la fois économique et psychologique. Il est facile de convaincre les copropriétaires du dernier étage d'accepter des travaux de surélévation dès lors que ceux-ci leur rapportent de l'argent. En revanche, si le produit de la vente des droits à construire est utilisé pour des travaux de rénovation thermique ou d'installation d'un ascenseur, vous risquez de ne pas obtenir leur accord. Votre projet d'ordonnance est viable dès lors que le copropriétaire retire un bénéfice personnel de la surélévation. En revanche, il sera moins efficace si la surélévation finance la rénovation thermique.