Ce débat est intéressant, mais appellerait, de la part de ceux qui étaient aux responsabilités ces dernières années, un peu plus de bonne foi. Le manque capacitaire, d'ailleurs ancien, a été constaté dès le déclenchement de l'opération Serval. Que ceux qui, aujourd'hui, la bouche en coeur, en demandent toujours plus tout en exigeant moins de dépenses nous expliquent comment faire ce dont ils ont été incapables dans la période précédente !