Je soutiens cet amendement tant sur le fond que sur la forme. D'une part, il prévoit une mise en oeuvre progressive d'ici à 2019. D'autre part, il est rare d'avoir plusieurs textes sur la politique de défense au cours d'une législature. Celui-là doit être l'occasion de traiter un certain nombre de problèmes. Je reprends l'exemple du logiciel Louvois qui est, de notoriété publique, une source de fortes tensions au sein de notre armée : aucune autre administration n'aurait supporté d'être traitée de façon aussi inacceptable ! Mettons par conséquent cette loi de programmation à profit pour rendre nos structures plus aptes à juguler de tels problèmes dès leur apparition.