Même avis. Si la réduction du nombre d'officiers est une nécessité, elle ne peut pas faire l'objet d'une approche globale et ne peut être conduite qu'au prix de décisions précisément mesurées. Certains corps d'armée ont un taux d'encadrement beaucoup plus faible que d'autres, les deux extrêmes étant l'armée de terre et le service de santé des armées. Aller au-delà de la diminution déjà difficilement arrêtée ne serait ni convenable ni réaliste.