Que se passerait-il ? Quelles en seraient les victimes ? Les régions périphériques, c'est-à-dire la Corse, la Bretagne – puisqu'il existe une liaison Brest-Paris ! – ou encore le Sud-Ouest, avec la liaison entre Toulouse et Paris.
Vous imaginez la catastrophe, d'autant plus grande que, nous l'avons tous entendu – vous-même, monsieur le ministre, vous avez évoqué ce sujet –, les projets de TGV sont remis en cause. Cela signifie que nous subirions la double peine : augmentation des tarifs aériens et abandon des projets de TGV. Nous disons donc clairement non à cet amendement. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)