Monsieur Tian, vous devriez écouter ce que vous dit M. Liebgott, qui connaît parfaitement le sujet, et qui vit cela dans son département et dans les territoires alentour de façon directe. Comme il l'a dit, il faut prendre en compte la situation des veuves. J'ai fait mention des mineurs, mais aujourd'hui ils ont souvent disparu. Restent leurs ayants droit, c'est-à-dire des veuves et des enfants. C'est autour d'eux et autour d'elles que s'est construit ce régime.
Michel Liebgott est fortement engagé pour défendre les mineurs et leurs ayants droit et participe au débat pour lequel j'ai nommé M. Bessière. Il sait que nous avons besoin de prendre des mesures pour assurer l'équilibre financier. La justice sociale n'exclut pas la recherche d'un équilibre financier, mais on ne peut pas tirer un trait sur la réalité sociale que représente le régime minier.
(L'amendement n° 130 n'est pas adopté.)