Monsieur le ministre, pourrions-nous disposer de la ventilation des surcoûts OPEX par titre ? Ce serait là un élément utile à notre réflexion.
Comme mes collègues, je m'interroge sur le financement interministériel de ces surcoûts. Aujourd'hui, il me semble fondé sur un usage plus que sur un document. Ne pourrions-nous pas envisager de lui donner un fondement juridique assuré, de manière à conforter indirectement le programme 146 ? En effet, à la pression exercée par l'instabilité internationale que vient de rappeler Pierre Lellouche et qui rendra difficile de s'en tenir à une dépense de 450 millions d'euros va s'ajouter celle des économies annoncées mardi par le Président de la République.