Il semble quand même évident, monsieur le ministre, que votre ministère est soumis à des tensions budgétaires extrêmes ! Une opération comme Serval entraîne des dépenses supplémentaires d'entretien programmé des matériels, du fait que ceux-ci sont soumis à des conditions extrêmes. N'existe-t-il pas un risque que ces surcoûts soient prélevés sur les autres crédits du ministère ?
Comme mes collègues, je pense qu'il est de notre responsabilité de vous aider à mettre en place des procédures d'explicitation de ces surcoûts et de ces transferts de crédits.