En effet. Je remarque que, s'agissant des formations sanitaires et sociales, la question de la parité se pose dans l'autre sens : on a « trop » de filles, d'infirmières, de sages-femmes, etc. En revanche, parmi les kinésithérapeutes, les hommes sont plus nombreux. Dans le secteur social, le phénomène est le même : il y a surtout des éducatrices, des animatrices et des assistantes sociales. Et c'est maintenant le cas dans les métiers de l'animation.
Au regard de la question des femmes, l'orientation des filles est très importante. Les affectations ont lieu, globalement, à la sortie du collège et après le baccalauréat.