C’est ensemble que nous pourrons relever les défis immenses posés par nos habitudes de consommation. La sobriété vaut pour les ondes, pour les mobiles, mais aussi pour l’énergie et encore pour nos déchets.
Je donne raison à Corinne Erhel : c’est par le dialogue et la transparence que nous reprendrons confiance. Nous y avons tous intérêt, les opérateurs y compris. La démarche visant à réconcilier le développement économique et les enjeux environnementaux est essentielle à mes yeux.
Suzanne Tallard a beaucoup contribué à améliorer le texte, et je ne doute pas qu’elle continuera de le faire, en direction du compromis qu’il faut trouver sur les sujets qui nous occupent. Son intervention est empreinte d’un compromis constructif, peut-être même historique, que nous devons chercher à obtenir.
M. Martin-Lalande nous a rappelé avec justesse que des travaux ont eu lieu dans le cadre du Grenelle des ondes sous le précédent gouvernement et que le COMOP a été piloté par l’actuel président de la commission des affaires économiques, M. François Brottes. Je suis néanmoins heureux que la première loi votée sur le sujet le soit par l’actuelle majorité avec le concours de l’actuel gouvernement. Je ne doute pas que M. Martin-Lalande la votera.