François-Michel Lambert m’a ôté de la bouche ce que je voulais dire à Mme de La Raudière sur le principe de précaution, sur la majorité et le président qui l’ont inscrit dans la Constitution. Je suis d’autant plus à l’aise pour le dire que, à l’époque, en tant que parlementaire, j’avais voté cette constitutionnalisation.