Bonne réponse ! René Ricol s'est d'ailleurs appuyé sur eux. Pour nous, il est assez difficile de toucher un boulanger ou un petit artisan. C'est pourquoi, depuis trois mois, j'ai lancé plusieurs actions. J'ai rencontré toutes les fédérations professionnelles. J'ai utilisé leur site. J'ai effectué une démarche systématique auprès des chambres de commerce et d'industrie, et auprès des chambres de métiers, pour communiquer par tous les moyens. J'ai lancé une campagne d'affichage. Mon collègue de la direction générale des finances publiques a accepté de poser des affiches dans les 900 points de contact des DGFIP. Cette action a été relayée par la Banque de France. La presse quotidienne régionale joue aussi un rôle important. Demain, où je me rends à Charleville-Mézières, je rencontrerai la presse locale. Je demande aussi aux directeurs de la Banque de France d'utiliser tous les canaux locaux : l'Union professionnelle artisanale (UPA), les chambres de métiers doivent participer, comme les experts comptables, à la diffusion de l'information.