J'ai présidé le groupe d'amitié franco-biélorusse sous la précédente législature et me suis rendu à plusieurs reprises à Minsk. Je rejoins les propos déjà tenus. Il s'agit d'un régime très particulier, mais il est vraiment nécessaire de s'y rendre et de rencontrer les uns et les autres. J'ai d'ailleurs toujours pu rencontrer l'ensemble des personnes que je souhaitais voir. Je pense qu'un dialogue sincère et ferme est nécessaire et qu'il ne faut pas le rompre.