Cette proposition va certes dans le bon sens mais qu'est-ce réellement qu'un marché ouvert, en Europe et surtout ailleurs dans le monde ? La bonne volonté affichée dans une proposition législative ne changera rien à la réalité ; le cadre juridique reste sans effet sur certaines distorsions commerciales. Il ne faut certes pas rester inactif mais ne faisons pas preuve d'angélisme. Nous sommes en guerre commerciale et nous devons adopter des législations dures pour défendre les intérêts de la France et de l'Europe. Notre rôle, à nous parlementaires, est de relayer avec force les préoccupations de nos compatriotes.