On constate en effet que le CSP conduit à une prise en charge très individuelle du demandeur d'emploi, qui a besoin d'une cellule d'appui. Dans certains cas, le dispositif prévoit qu'on puisse mettre en place des cellules d'appui limitées – puisqu'elles ne peuvent durer que 45 jours –, mais il s'agit d'une mesure exceptionnelle. On en constate le bien-fondé pour les salariés ayant des difficultés particulières de formation ou pour retrouver un emploi.
Ce besoin est apparu clairement dans le dossier Doux. On a aussi mis en place ce type de mesures dans une affaire concernant la société Plastimo-Navimo. Elles sont appréciables pour les salariés.