Le keynésianisme n'a pas trop mal réussi en effet au président Roosevelt. Ma conviction personnelle est que le keynésianisme nécessite un leadership car il a pour vocation de répondre à une crise de confiance. Cette crise du leadership a été évoquée par toutes les personnes rencontrées. Vous avez raison de dire que c'est un acte de foi car, si cette crise de leadership perdure, alors aucune politique ne produira d'effets.