Je partage l'opinion exprimée par mes collègues Myard et Marsaud. Vous semblez prendre acte que l'Iran ne sera pas invitée à participer à la conférence de paix sur la Syrie ; mais comment peut-on espérer une issue positive à cette réunion si l'un des interlocuteurs principaux n'est pas invité ? D'autre part, ne peut-on craindre qu'en n'invitant pas l'Iran à la table de négociation on renforce son poids dans la région, ce qui achèverait de déstabiliser le Liban ?