Si l'on n'évoque ici ni l'agriculture ni l'industrie, ni le commerce ni l'artisanat – alors qu'ils revêtent tous de l'importance pour les pays en voie de développement –, c'est que le ministre souhaite que la première partie du projet de loi soit constituée d'énoncés très concis. Bien que votre exposé des motifs soit très convaincant, votre plaidoyer en faveur de l'agriculture familiale me paraît satisfait aux alinéas 40 et 41 du rapport annexé, qui cite les moyens économiques de lutter contre la misère, à l'exception de sa dimension vivrière, qui pourrait faire l'objet d'un amendement à déposer dans une autre commission. Je vous propose donc de retirer votre amendement.