Il s'agit de préciser que « la France soutient la lutte contre l'opacité financière et les flux illicites de capitaux pour favoriser la mobilisation de leurs ressources par les pays en développement ». Une corrélation est établie entre les flux publics et les effets délétères d'une gestion spéculative ou frauduleuse des fonds privés. Cette disposition permet d'insister sur la lutte contre les paradis fiscaux déjà mise en avant dans la loi de finances. Je crois que ce thème majeur méritera d'être encore développé lors des discussions ultérieures du projet de loi.