Je comprends les difficultés évoquées par les quatre intervenants car je me situe des deux côtés de la barrière. Savez-vous que ma condition de chef d'entreprise m'a valu il y a quelques années d'être presque hué dans cette commission. À cet égard, monsieur le président, l'audition des députés chefs d'entreprise pourrait être utile car eux aussi ont des choses à dire.
Pensez-vous que le pacte de confiance peut être assorti de conditions ? N'y a-t-il pas une contradiction dans les termes ?
Quelle serait selon vous la mesure la plus urgente à prendre ?
Que vous inspire la jurisprudence L'Humanité, datée de la semaine dernière, qui permet à une entreprise, déjà bénéficiaire au titre des aides à la presse de 6 millions d'euros de fonds publics, de voir sa dette publique – 4 millions d'euros – effacée ? L'aide par numéro est trois plus importante que pour les autres titres. Les entreprises devraient s'en inspirer pour demander à l'État l'annulation de leur dette ou son report d'un an à l'instar de ce que fait celui-ci avec le crédit d'impôt.