Merci, monsieur le ministre, pour ces propos rassurants. Je m’en ferai le porte-parole dans ma circonscription. J’ai bien noté qu’il n’est pas question de fermer le commissariat aujourd’hui. Je suis sûr que vous vous préoccupez de la sécurité de nos concitoyens.
Permettez-moi de soulever un seul point : quand on demande à des communes d’engager de l’argent public pour le commissariat, il est un peu dommage de faire déménager quelques mois plus tard les services, notamment la brigade canine, bien que nous ayons bien compris qu’il s’agissait d’une structure départementale. L’argent public étant rare, je pense que l’État aura le souci de mieux communiquer désormais avec les communes.