Merci, mesdames et messieurs les députés de l’opposition, de m’accueillir ainsi.
Monsieur Jégo, permettez-moi de vous appeler « monsieur le ministre » : en effet, vous avez assumé une partie des responsabilités de la France – comme d’autres sur ces bancs, comme nous aujourd’hui. Vous savez donc qu’il ne s’agit pas d’une question d’héritage, mais d’une question d’histoire, de lecture de l’Histoire. Pendant le dernier quinquennat, alors que vous aviez la majorité, il y a eu un million de chômeurs supplémentaires.