Après un choc de compétitivité déjà obsolète, après un choc de simplification dont on n’a pas vu le moindre effet – et je vous entendais parler d’un choc de mobilisation –, nous avons le sentiment que c’est vous, monsieur le Premier ministre, qui êtes KO debout ! Ce « pacte de responsabilité » est d’ailleurs bien de votre responsabilité et non de celle des entrepreneurs, des cadres et des salariés qui se battent au quotidien pour conserver leur place dans la compétition internationale.