Je connais assez les convictions des parlementaires que j’ai reçus et du président de la Ligue des droits de l’homme pour savoir que ce n’est pas ce que vous souhaitez. Conformément à mes engagements, mon cabinet leur a proposé une nouvelle rencontre. Je suis certaine que nous serons solidaires pour mener les combats contre ceux qui contredisent les valeurs de la République.