L'effectif des anciens combattants ayant participé aux OPEX est en progression. Selon les chiffres de l'ONACVG, de 91 000 en 2013, il passerait à 106 000 en 2018 – dont 400 ayants cause, veuves et orphelins –, soit une progression de 17 %. Le nombre des ayants cause augmenterait également durant ces cinq années au titre des conflits d'Indochine et d'Afrique du Nord et des « hors guerre ».
Quelles évolutions sont envisagées pour les écoles de réinsertion professionnelle et les maisons de retraite ?
Pour quelles raisons le conseil d'administration de l'ONACVG a-t-il décidé de supprimer les aides à l'action sociale des associations nationales, pour un montant de 470 000 euros ?
Enfin, il a été question d'une aide différentielle pour les anciens combattants les plus démunis : où en est la réflexion de l'Office à ce sujet ?