Je suis une fois encore d'accord sur le fond, tout en m'interrogeant sur l'emplacement de l'insertion – à mon avis, peu judicieuse à cet endroit – ainsi que sur la formulation – celle-ci m'apparaît restrictive puisqu'elle se limite aux agressions physiques, d'une part, et qu'il me semble que les hommes sont aussi concernés par l'insécurité liée aux conditions matérielles de vie dans ces camps provisoires, d'autre part. Il est néanmoins vrai que le projet de loi n'aborde qu'assez peu les questions de l'aide d'urgence et des réfugiés. Aussi, je vous propose de retirer votre amendement à ce stade de nos travaux et de le retravailler en vue de la séance publique.