Je comprends l'intérêt d'une telle proposition, mais ces critères – comme les effets d'un projet sur l'animation de la vie urbaine, rurale et de montagne, ou sur les flux de transports – sont éminemment subjectifs. Ensuite, leur accumulation risque d'aboutir au refus systématique de toute implantation commerciale – en zone rurale ou de montagne, par exemple, la commission peut s'appuyer sur l'absence de transports collectifs. Or nous avons besoin d'implanter un minimum de surfaces commerciales.