Cette préoccupation est partagée sur tous les bancs. Les enfants d'un commerçant non sédentaire n'ont pas automatiquement le droit de reprendre l'emplacement occupé par leurs parents – j'ai eu à connaître d'un tel cas dans ma ville, monsieur le président. Pour les commerçants saisonniers, comme certains maraîchers, le problème de la transmission ou de la cession est encore plus grave, leur activité ne s'exerçant que quelques mois par an. Vos propositions, madame la ministre, seront donc les bienvenues car il faut trouver des solutions concrètes.