Le fonds de péréquation est maintenu, et les CDPPT doivent rester extrêmement actives. Je répète notre doctrine : pas de transformation de bureau de poste sans l'accord du maire et du conseil municipal ; pas de modification des horaires sans concertation. L'essentiel est d'anticiper les problèmes.
On a évoqué le cas de la plateforme industrielle de courrier de l'Aveyron. D'autres transformations se sont mieux passées, sans doute parce qu'elles avaient été mieux préparées. On ne peut à la fois se dire conscients de la baisse du volume de courrier et ne pas adapter l'appareil industriel. Nous devons continuer, dans le dialogue et l'anticipation.