Même avis. J’ajoute qu’il peut être intéressant d’avoir des études de cette nature au CNEFOP. Je comprends tout à fait, madame Neuville, que l’on ait soulevé cette question. Je puis vous dire dès maintenant, sans qu’il soit nécessaire de l’inscrire dans la loi, que je veillerai à ce que le CNEFOP, qui aura quelques relations avec le ministère du travail, puisse se pencher aussi sur des sujets de cette nature. Ainsi, vous disposerez de statistiques, ce qui est indispensable pour lutter contre toutes les discriminations, en particulier celles qui sont fondées sur le genre. En appréciant la réalité d’aujourd’hui, on prépare les progrès de demain.