Madame l'inspectrice générale, il est vrai que les expériences menées en lycée professionnel sont souvent exemplaires s'agissant de la prise en compte des élèves. Pourtant, cette orientation est toujours perçue comme une orientation par défaut.
Ma question portera sur le rôle des corps d'inspection. Vous soulignez dans votre rapport que les inspecteurs ont un rôle mineur dans la lutte contre le décrochage scolaire. Pourraient-ils s'investir davantage ? Comment ? Comment le comprendraient les enseignants, qui ne voient en eux qu'un corps de contrôle ?