Une preuve écrite est dans l'intérêt de tous, notamment de l'employeur, qui se verra obligé, si l'entretien n'a pas eu lieu, de créditer le CPF de 100 heures supplémentaires. Cela dit, monsieur Cherpion, il ne s'agit pas de réécrire l'Encyclopædia universalis, nous en sommes d'accord.