Nous sommes très attachés à la gratuité, mais certains CFA nous ont fait savoir qu'ils facturaient parfois certaines de leurs prestations aux entreprises – qui s'y prêtent volontairement, car rien ne les oblige à payer. Les CFA craignent, si nous venions à interdire cette pratique, un manque à gagner dont la compensation risquerait d'incomber aux régions, lesquelles s'inquiètent d'apparaître de plus en plus comme la solution à tous les problèmes de financement.