Il s'agit de permettre aux écoles de production d'avoir accès à la part « quota » de la taxe d'apprentissage et de pouvoir ainsi asseoir plus fortement leur action. Ces centres de formation technique, qui permettent à des jeunes en situation de décrochage scolaire âgés de 14 à 18 ans de se former à un métier, allient en effet formation professionnelle et production – dans la mesure où une partie de ce qui est fabriqué en leur sein est en liaison directe avec l'industrie – et donnent lieu à de très bons résultats, comme je l'ai constaté pour l'école de production de Toulouse.