En 2007, un candidat à l’élection présidentielle avait dénoncé les « orphelins de seize heures ». En 2017, si vous persistez, nous débattrons des « orphelins de quinze heures quinze ».
De nombreux maires n’ont adressé aucune réponse fin janvier. Que va-t-il maintenant se passer pour ces communes ? Depuis les lois de décentralisation de 1983, le maire est compétent pour fixer les horaires des classes. Allez-vous donner aux recteurs l’instruction de prendre des arrêtés s’imposant à ces communes ? Avez-vous conscience de la fragilité de ces arrêtés ?
Répondant à l’attente des parents et aux intérêts des enfants, les écoles privées de ma circonscription resteront au rythme actuel de quatre jours,…