Le Haut comité associera toutes les parties prenantes ; par son intermédiaire, les parlementaires seront informés des orientations stratégiques de l'État. Il s'apparente un peu à un Conseil économique, social et environnemental du ferroviaire, et sera présidé par le ministre chargé des transports. L'ARAF, elle, est une autorité indépendante.
Dans mon propos liminaire, monsieur Gilles Savary, j'ai insisté sur le rôle de l'État stratège, qui intervient à tous les niveaux. Le Parlement ne doit évidemment pas être écarté, comme il a pu l'être, du débat stratégique sur le ferroviaire.