Une de ces fragilités tenait à cette taxe télécoms, qui finançait non pas la création, comme devraient le faire les opérateurs de télécoms, mais un opérateur public.
Comment ne pas rappeler que la redevance entre 2002 et 2009 – sept années ! – n'a pas été augmentée, ce qui privait le secteur public des moyens de son développement ? Plus encore, en 2005, la suppression de la redevance sur les résidences secondaires privait encore l'audiovisuel public de 300 millions d'euros.