Nous dénonçons – de façon unanime sur les bancs de notre assemblée, je crois pouvoir le dire – cette violence inacceptable, qui appelle de la part de notre pays, mais aussi de la communauté internationale, une condamnation ferme et sans équivoque.
Depuis le début de cette crise – je le dis sans esprit polémique –, nous sommes restés trop silencieux, en France, sur ce qui se passait à nos portes.