En 2008, la droite, prompte à s’offusquer aujourd’hui, a volé aux élèves et aux enseignants au moins deux heures d’enseignement. Nous sommes très nombreux à être favorables aux quatre jours et demi d’enseignement en primaire. Mais, comme avant 2008, et comme nous l’avons connu nous-mêmes, c’est à l’éducation nationale d’assumer cette réforme pour garantir l’égalité sur tout le territoire et pour confirmer le caractère national, indivisible du projet éducatif.
Monsieur le ministre, quelles réponses apportez-vous aux différentes interrogations de la communauté éducative, parents d’élèves comme enseignants ?