Pour la Vendée, département d'élevage comptant 280 km de côtes, il est vital d'identifier les conséquences des changements climatiques : sans doute davantage de précipitations, mais aussi de sécheresses, etc. Certaines espèces animales et végétales ne seront plus adaptées à des températures un peu plus élevées qu'aujourd'hui. Comment faire face à ces évolutions ?
Certaines terres agricoles vendéennes, parmi les plus riches de notre pays, ont été gagnées sur la mer au cours des siècles passés ; elles sont aujourd'hui menacées d'engloutissement. Comment allons-nous choisir les territoires qui seront sacrifiés et ceux qu'il conviendra de préserver à tout prix ?