De votre propos liminaire, monsieur, j'ai retenu qu'il était nécessaire d'avoir foi dans la concurrence, sans en avoir la religion. À vos yeux, la concurrence doit être régulée et combinée à d'autres aspects. Une dimension importante de l'action de l'Autorité que vous présidez est son articulation avec le niveau européen. Après votre proclamation de foi en cette concurrence régulée, je ne peux passer sous silence que le diable réside peut-être dans la concurrence « libre et non faussée », dont la réglementation européenne pose le principe. Comment voyez-vous, pour votre prochain mandat, l'articulation entre votre action au niveau national et la législation européenne ?