Je pense que nous ne sommes absolument pas outillés pour financer aujourd'hui toutes les coopératives et exploitations agricoles françaises. Nous le sommes pour financer l'industrie agro-alimentaire et les pêcheries. Mais vous avez raison, madame, cela peut changer : il y a quelques années, Bpifrance n'existait pas, et peut-être que dans cinq ans nous exercerons un septième ou un huitième métier de financeur du monde coopératif français, en coopération avec le Crédit agricole. Ce n'est pas le cas aujourd'hui.