…ministre de l’enseignement supérieur, à ce que ce soit le coeur du débat. Or il n’en est rien, et nous n’avons pas pu avoir l’avis de la commission des affaires culturelles et de l’éducation sur ce texte. Je le déplore, car c’eût été utile pour avoir un bon débat parlementaire.
Non seulement, on déclare l’urgence sur un tel texte, mais nous n’avons pas pu avoir une discussion de fond sur les questions de formation. Or une telle discussion aurait pu montrer que des dispositifs trop coercitifs vont à l’encontre de l’effet recherché.