Je réponds à Mme Dion.
Par ailleurs, l’exemple des start-up paraît particulièrement malencontreux et peu adapté.
Ayant présidé un pôle d’innovation, j’ai connu près de 200 start-up relevant de divers domaines – médical, biomédical, électronique, technologies de l’information, énergie : je n’ai jamais vu d’abus concernant le pourcentage de stagiaires. Sincèrement, ce n’est pas dans ces entreprises que l’on voit de tels abus, c’est plutôt dans des entreprises que je ne veux pas nommer parce que je ne veux pas les stigmatiser, bien que vous-même l’ayez fait mercredi dernier.