Quel crédit accorder à de tels réflexes de survie politique, à quelques semaines des municipales ?
Monsieur le Premier ministre, mieux vaut perdre une élection que perdre son âme. Vous êtes responsable et coupable de ces situations, vous pensez acheter la paix sociale et politique. Aujourd’hui, par votre attentisme et votre laxisme, vous instituez la prime à la casse !