Il y a des choses qui ne sont pas acceptables.
Enfin, je ne peux pas accepter, une nouvelle fois, qu’on nous accuse de complaisance à propos de telle ou telle manifestation alors que, comme vous l’avez rappelé, certains ont, d’une certaine manière, accepté ce qui s’est passé à quelques dizaines de mètres de l’Assemblée nationale, où l’on a prononcé des discours qui remettaient en cause et les valeurs de la République et le rôle du Parlement.