Mes chers collègues, aimer l’Europe, vouloir l’Europe, c’est la rendre aimable et désirable au plus grand nombre. Or, les ravages humains et économiques du détachement abusif résultent de la course infinie au moins-disant social et fiscal, produit d’un monde sans règles.
Aimer l’Europe, vouloir l’Europe, c’est lui donner des règles de vie commune que le seul marché ne crée jamais spontanément.
Mes chers collègues, le groupe SRC votera, bien sûr, ce texte…