L’ordre du jour appelle la déclaration du Gouvernement sur l’autorisation de la prolongation de l’intervention des forces françaises en Centrafrique, suivie d’un débat et d’un vote, en application de l’article 35, alinéa 3, de la Constitution.
Je rappelle que la Conférence des Présidents a décidé que ce vote donnerait lieu à un scrutin public, et qu’il n’y aurait pas d’explications de vote.
La parole est à M. le Premier ministre.